« Beaucoup de collègues ont déjà jeté l’éponge » : à Paris, taxis et VTC attendent encore l’effet JO

25 Juil « Beaucoup de collègues ont déjà jeté l’éponge » : à Paris, taxis et VTC attendent encore l’effet JO

Ils n’ont pas accès aux mêmes zones, ni aux mêmes clients. Pourtant, ces professionnels estiment gagner jusqu’à 70 % de moins, pour les plus touchés, depuis la mise en place des sites olympiques et des zones grises et rouges. Tous escomptent l’arrivée des clients à partir de la fin de cette semaine.

Au pied de la tour Eiffel, la plateforme Uber mouline. Impossible de trouver des chauffeurs. Les temps d’attente se rallongent. Pour cause, les VTC comme les taxis ne sont pas autorisés à venir chercher les clients dans les zones grises comme ici, mises en place pendant les JO de Paris. « S’ils commandent, on doit leur envoyer un message et leur expliquer qu’ils doivent marcher 1 à 2 km pour en sortir. Évidemment, ils annulent », regrette Zhi. « Et même pour les périmètres rouges, là où nous sommes censés avoir le droit d’aller, ça varie en fonction du policier. Une vraie galère », soupire Boris.

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